Minecraft – Un jeu très très prenant ! [Mise à jour]

Voilà, sous la pression la motivation d’un ami qui s’était mis à Minecraft depuis quelques temps, j’ai décidé de m’y mettre à mon tour. Cela fait environ 3 semaines.

Alors c’est un jeu vidéo vraiment particulier. Il n’y a pas vraiment de quêtes, ni d’achèvements, ni même de finale. Le but dans ce jeu est de vivre. Enfin tout d’abord de survivre. Bon, ceux qui connaissent le jeu, peuvent sauter quelques lignes.

Il y a deux modes de jeu : le mode créatif et le mode survie. J’ai fait deux mondes : un dans lequel je joue en créatif, et un autre en survie. Le créatif est intéressant pour se faire avec le jeu, nous avons des ressources illimités, le pouvoir de voler, une certaine invicibilité, etc. Bref, c’est un peu comme si le jeu était totalement déverrouillé, nous permettant d’y faire ce que l’on veut, notamment des structures qui sont juste limitées par les capacités de création du joueur.

Mais le mode survie est nettement plus passionnant. Pourquoi ? Parce que nous arrivons dans un monde hostile, où tout est à créer. Nous n’avons rien au départ, juste les mains pour commencer à récolter du bois. Puis on peut se faire un atelier pour concevoir soit une épée, une hache, une pioche, etc. La nuit tombe aussi vite que dans le mode créatif. Sauf que nous sommes loin d’être invincibles. La nuit c’est le monde des ténèbres, qui est arpenté de monstres tous plus vicieux les uns que les autres. Il faut trouver refuge, de préférence dans un creux de falaise, que l’on aura pris soin de creuser pour s’y aménager son premier petit nid douillet. Et les jours se succèdent, rapidement. Minerai de charbon, bois, torches, four, coffre, portes, pioches, épées, armures, etc. Un grand nombre d’objets indispensable à une bonne survie.

Mon monde en mode survie se nomme « Satrinia », en référence à cette Lune terrestre que j’avais imaginé gravitant autour de Saturnia, dans un système solaire fictif localisé autour d’une étoile à quelques 170 années-lumières de la Terre. Bref, je m’égare, je m’égare aux morilles. Minecraft donc. J’avais suivi très attentivement les tutoriels de Fanta, sur Youtube, qui sont tout simplement EXCELLENTISSIMES : C’EST ICI !!!

Donc, retour sur Satrinia. Je documenterais plus tard mon premier point de chute avec le fort que j’avais établi au pied d’une montagne et partir duquel j’avais creusé une mine dans son intégralité. Mais ça a été une perte de temps. J’ai donc décidé de déménager au sommet de cette montagne pour y construire un nouveau fort, plus spacieux, et protégé des monstres. Seul hic, un cruel défaut de ressources naturelles. J’ai donc fait un tunnel de minage qui descendait au coeur de la montagne, jusqu’à déboucher sur son flanc, en forêt. Ce qui s’est avéré être un bon plan ne le fut pas à la longue. Descendre, faire un peu de forêt pour chasser, en évitant de se paumer !!! Et puis revenir avant que la nuit ne tombe, assez long. C’est ainsi que me vint en tête l’idée de me faire un cabanon, dans la zone sablonneuse de mon monde, à quelques encablures de ma montagne. Pour le moment il est assez fruste mais je compte bien construire quelque chose de meilleur, notamment depuis la découverte d’un gigantesque réseau de grottes et de cavernes vers ce que je prend comme étant le Sud.

Donc place aux images, avec quelques captures d’écran du jeu, montrant le Cabanon, et puis aussi un champignon géant que j’ai aménagé (si jamais je me fais démolir mon cabanon par un Creeper par exemple, monstres ayant la fâcheuse habitude de chercher à vous faire un câlin et qui explosent à votre contact, très marrant).

La maison-champignon à gauche, le Cabanon à droite (même s’il est en pierre, faut parer aux zombies qui s’enflamment le jour venu). A droite, mon -confortable n’est-ce pas ?- intérieur. Une échelle pour aller sur le toit-terrasse. Le lit, élément crucial, qui vous permet d’une part de ne pas avoir à attendre que la nuit passe, et d’autre part qui permet de fixer un point de « spawn » ; si jamais on meurt, on réapparaît au dernier endroit où nous avons dormi.

Vue depuis la terrasse. A droite, deux Endermen rencontrés lors de l’exploration de cet immense réseau de cavités. Assez inoffensifs au demeurant, si vous vous amusez à les trouver du regard, ils vous regardent aussi, et au bout d’un petit temps, s’ils vous fixent trop, ils vous téléportent dans un autre lieu de votre monde, totalement dépouillé de vos affaires. Un coup à devoir tout recommencer si vous n’arrivez plus à retrouver votre base.

Enfin ! De la lave ! Cela veut dire que la bedrock n’est plus très loin, avec à la clé des gisements de redstone, d’or et de diamants. Eléments importants qui permettent pas mal de choses.

Je tenterai de faire un point régulier sur l’évolution ma vie sur Satrinia.

Je termine sur cette vue faite sur Les Mondes Obscurs, mon monde en mode créatif. J’avais entamé la construction d’une église, désormais terminée. Je ferais une nouvelle capture plus tard. La beauté du pixel.

Mise à jour de l’article

Tout d’abord, comme promis, des captures de l’église que j’ai construit dans Les Mondes Obscurs. Donc un immense pilier pour soutenir l’édifice. Bon dans le jeu, on peu s’en passer, mais cela nous paraîtrais vraiment étrange un bâtiment massif, flottant comme ça. Notez la sympathique chute d’eau au travers de la paroi de la colline à gauche.

Alors le clocher n’est pas aussi qu’espéré. En effet je suis arrivée à la limite supérieure de la carte. Impossible d’y bâtir quoi que ce soit.

Intérieur de l’église.

L’estrade au centre de l’église. A droite, la croisée d’ogive, pas évidente à réaliser. Et en dessous, nouveau coucher de Soleil sur Les Mondes Obscurs.

Retour sur Satrinia avec quelques vues plus élargies sur le paysage alentour. J’ai mis la visibilité sur « Far » pour voir aussi loin que possible. Malheureusement, c’est rapidement injouable, avec une telle quantité de données, le nombre de fps diminue dramatiquement.

Au moment du coucher du Soleil, ce qui identifie ma montagne à l’Ouest, et les cavernes au Sud. J’avais juste ! La montagne située à gauche du Soleil c’est dans celle-ci que j’ai creusé ma galerie. Au pied de celle-ci, sur le flanc Nord, j’avais établi mon premier fort. Sur l’image de droite, à la fin du crépuscule, on peut voir comme des lumières sur la montagne : ce sont des balises installées pour retrouver ma route quand je revenais de forêt. Et puis, au sommet de cette montagne, vous tenterez de distinguer un petit rectangle à demi masqué : c’est mon second fort. Je ne compte pas y revenir.

Je vous présente un Creeper. L’idiot, il s’sest fichu dans un trou qu’un précédent Creeper avait effectué en m’approchant trop près. Mais il n’est pas seul, il y a deux de ses amis. Cherchez-le donc.

A noter que j’ai entamé la construction d’une deuxième maison, qui sera plus un vrai cabanon. Sur l’eau, avec des pilotis, une terrasse, une zone pour cultiver, etc.

3 commentaires Ajoutez le votre

  1. Flo dit :

    De la pression ? Pfff… :p

  2. cla dit :

    comment on peut l’installer????????????

    1. Damia Bouic dit :

      Ben déjà l’acheter 😉 (après tu fais comme tu veux)
      Et ensuite l’installer.
      Google me paraît être une bonne solution pour trouver l’adresse du site et les liens qui vont bien 😉

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