Alors aujourd’hui, j’étais à Sausset-les-Pins, sur la Côte Bleue, où l’on a un vue privilégiée sur la ville de Marseille, distante d’une trentaine de kilomètres. La transparence atmosphérique étant impeccable, j’ai pu réaliser un panorama à 200mm. Depuis plusieurs semaine j’avais envie de réaliser une telle vue, avec des labels afin de vous montrer les principaux lieux de la Cité Phocéenne.
Et la version décadrée, sans labels.
Retour sur une balade effectuée l’an passé au sommet du Mont Puget, qui était au dessus d’une mer de nuages. Les Anneaux vus du côté sombre sont visibles sous la forme de délicats filaments tissant une toile de fond sur l’Azur. Nous sommes proches de l’Equinoxe et de leur disparition totale du ciel, avant leur grand retour lumineux pour l’été !
Vu depuis le Sud de Martigues, avec un beau panorama sur la Couronne. Il fait déjà bien froid en cette saison, avec -15°C la nuit dernière. Inutile de dire que l’usine thermo-électrique de la Couronne commence à bien tourner, même si elle n’est qu’à moitié de son régime. Un éclair de clarté rougeoyante fut visible lorsque le Soleil passa dans une division.
Et la balade fut fort belle !
Retour en photo sur trois heure de marche au gré des collines coincées entre Etang et Mer.
Les méandres de la vie m’ont conduit à porter mes espoirs futurs à Saint-Nazaire. Mais ceux-ci, dans un autre cingle, m’ont fait revenir en Provence. Je retrouve Marseille et sa région, bien que ce soit à Martigues que je suis de retour.
J’ai ici sélectionné les meilleures photographies de Saint-Nazaire durant ce séjour, qui il faut l’admettre, fut très très particulier pour moi, et une remise en question permanente.
Sauf que cette grue est un peu particulière. Et que l’endroit est aussi particulier. Si vous reconnaissez l’endroit, vous gagnez mon estime. Et c’est quand même pas mal je trouve !
Donc je me rends d’abord sur les quais, histoire de m’approcher d’un ferry en chantier. Je ne parviendrais pas à m’approcher de l’endroit, et surtout de la grue qui le surplombe, car c’était ceci que je voulais faire. A droite, l’impressionnante coque d’un porte-conteneurs. On se prends à rêver de nouveaux départs, d’horizons dégagés, d’errances maritimes. Franchir la passerelle pour aller sur le pont, cela fut très tentant.
Je passe sous une grue, qui semble partir à l’assaut des étoiles.
A côté des locaux de ma multinationale. Hé oui !