Et la balade fut fort belle !
Retour en photo sur trois heure de marche au gré des collines coincées entre Etang et Mer.
Les méandres de la vie m’ont conduit à porter mes espoirs futurs à Saint-Nazaire. Mais ceux-ci, dans un autre cingle, m’ont fait revenir en Provence. Je retrouve Marseille et sa région, bien que ce soit à Martigues que je suis de retour.
J’ai ici sélectionné les meilleures photographies de Saint-Nazaire durant ce séjour, qui il faut l’admettre, fut très très particulier pour moi, et une remise en question permanente.
Sauf que cette grue est un peu particulière. Et que l’endroit est aussi particulier. Si vous reconnaissez l’endroit, vous gagnez mon estime. Et c’est quand même pas mal je trouve !
Donc je me rends d’abord sur les quais, histoire de m’approcher d’un ferry en chantier. Je ne parviendrais pas à m’approcher de l’endroit, et surtout de la grue qui le surplombe, car c’était ceci que je voulais faire. A droite, l’impressionnante coque d’un porte-conteneurs. On se prends à rêver de nouveaux départs, d’horizons dégagés, d’errances maritimes. Franchir la passerelle pour aller sur le pont, cela fut très tentant.
Je passe sous une grue, qui semble partir à l’assaut des étoiles.
A côté des locaux de ma multinationale. Hé oui !
Au retour de Saint Valéry en Caux, je suis passée par Paris, où j’ai séjourné brièvement, notamment et surtout afin de prendre part à la conférence qui se tenait à Carrières-sous-Poissy, tôt dans la matinée, faisant le suivi en direct de l’atterrissage de Curiosity sur Mars, en présence, entre autres, d’Olivier de Goursac. J’aurais bien voulu ramener quelques belles photos de cette conférence, mais il s’est trouvé que j’avais malheureusement oublié mon 400D, mes papiers et d’autres trucs, au gîte. Fort heureusement, tout ceci fut retrouvé, expédié par Chronopost et récupéré au bout de 2 jours. Ouf !
Quelques images.
Le 7ème jour ne contenant pas assez d’images pour un article, je l’ai fusionné avec celui du 8ème, qui lui est beaucoup plus dense en photos. Rien de spécial à raconter pour la première partie.
Par contre la seconde est beaucoup plus intéressante car elle propose une belle activité orageuse, avec le passage de plusieurs cellules sur le large.
Une petite journée, car j’aurais du rester une partie de l’après-midi au gîte, afin de m’occuper de travail en retard. Mais j’ai pu malgré tout prendre des images.