Un après-midi sur la plage

2 Commentaires • Expédié le 15 juillet 2016 à 21:40 dans MétéoPaysageSoleil

Ce 13 Juillet, nous profitions d’un répit pour aller profiter du littoral atlantique, à Carcans-plage, un bel endroit que j’ai connu durant mon adolescence, nimbé de pins maritime, de sable, de plages à perte de vue, et du miroir de l’Océan Atlantique. Cela me manquait terriblement, et j’ai enfin pu mettre fin à une impatience longue de plusieurs années.

Donc les photos, sans doute pas très exceptionnelles, mais du moins mes premiers clichés de cet endroit chargé en souvenirs 🙂

Les dunes de sable du cordon littoral qui freinent l’érosion côtière.
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Celles-ci sont recouvertes d’une végétation particulière : l’oyat, connu pour son rôle fixateur du sable avec son réseau de racines.

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Descente des dunes et arrivée sur la plage.

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(suite…)

Séjour en Cerdagne

Un commentaire • Expédié le 13 juin 2016 à 21:32 dans FourmisMacroMétéoMontagnePaysage

Pour une fois que je sors de ma Dordogne, cela mérite bien un petit article un long article.

Alors qu’est-ce que je vais y faire là-bas ? Et d’abord, c’est quoi la Cerdagne ?

Alors c’est parti !

Répérages

La Cerdagne, c’est une région située dans les Pyrénées-Orientales, tout à l’Est de la chaîne pyrénéenne.

Cerdagne_LocalisationGlobale

Et plus précisément, il s’agit d’une large vallée située entre deux chaînes de montagnes, qui s’ouvre vers la Méditerranée, à l’Est, et vers l’Espagne, à l’Ouest. Dessin assez approximatif de ce qu’est cette région.

Cerdagne_Localisation

L’intérêt de cette région réside dans son climat, qui diffère assez largement de celui du reste des Pyrénées côté français. En effet, la vallée cerdane (qui est plus un plateau, mais plus précisément une plaine d’altitude -très probablement occupée par un glacier il y a très longtemps-), possède cette particularité d’être assez large en comparaison des autres vallées de montagne, mais aussi et surtout d’être ceinte de chaînes de montagnes de part et d’autre, dans un sens SO-NE. De cette configuration va naître un climat bien plus sec que le reste de territoire, car les sommets vont contenir une grande partie des précipitations, qu’elles viennent de l’Ouest, du Nord ou bien de l’Est. Par ailleurs, la Tramontane y souffle fréquemment, chassant les nuages. L’ensoleillement y est important. Approchant dit-on les 3000 heures par an. A Bergerac, où le Soleil n’est pourtant pas timide, on peut le voir en moyenne 1972 heures par an. A Marseille il est de 2835 heures, et à l’extrême opposé, on trouve 1538 heures, à Cherbourg (Source).

Mais, on constate une chose. Et une carte, météo cette fois-ci, permets de s’en rendre compte.

Localisation_StatIC_Osseja

On voit que la Cerdagne, en France du moins, ne possède aucune station météo permettant de mesurer précisément les paramètres climatiques. Et c’est à Osséja que cela va se passer. En effet, depuis un an, un couple de passionnés a remué les montagnes pour qu’avec Infoclimat, une station météo intègre le réseau StatIC de l’association nationale, afin de combler ce trou.

Et c’est le 11 juin 2016 que j’ai eu l’honneur d’assister (et d’aider aussi), à l’installation de cette station météo, qui comportera un capteur de mesure de l’intensité du rayonnement solaire (pyranomètre), en plus des traditionnels instruments servant à mesurer la hauteur des précipitations, les températures, l’humidité, la pression et le vent (direction et force). Dans quelques années, nous auront l’occasion de pouvoir dresser un premier portrait climatique du cœur de la Cerdagne.

Le séjour

C’était aussi l’occasion de ramener des photos de cette magnifique région.

Nous sommes parti-e-s le 9 Juin, en milieu de journée. Je vous passe le long défilé routier peu intéressant.

Toutefois, c’est depuis l’autoroute que se profilent les Pyrénées. Les Pyrénées Ariégeoises plus précisément. C’est même écrit sur le panneau !

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(suite…)

Orages du 10 Avril 2016 : du bonheur !

Un commentaire • Expédié le 13 avril 2016 à 13:20 dans MétéoOrage

Préambule

Cela faisait depuis longtemps que je n’avais pas proposé d’article « chasse à l’orage ». A vrai dire, depuis 2013. Ma période bourguignonne n’ayant pas été spécialement riche en terme d’activité orageuse (essentiellement diurne par ailleurs), et surtout, électrique (un seul cliché obtenu).

Avec le commencement de ma période périgourdine, c’est fini tout ça ! Déjà, 3 semaines après mon installation à Bergerac, je capture mon premier éclair lors d’un orage matinal (et la photo montre assez bien mon manque de préparation). Et 2016 a commencé vraiment fort, avec un premier orage le 2 Janvier. Et deux autres le 3. Puis un quatrième le 5. Quatre orages en moins d’une semaine, en plein hiver par ailleurs.

Le printemps arrive, et montre rapidement des signes d’instabilité assez marqués (en plus des régimes d’averses traditionnels en cette saison). Le 3 Avril, premier orage de printemps, mais qui finalement ne concernera pas trop la ville de Bergerac. TOUTEFOIS cela me permet d’obtenir mon premier cliché d’impact de foudre de l’année. Cela se terminera en pluies stratiformes, sans trop d’activité électrique. Mais : sensations.

Et, le 10 Avril…

Côté jour

La situation orageuse se produit sous un flux de Sud assez important. Des cellules orageuses se forment un peu partout, et quelques unes se forment sur Bergerac, avec de bons coups de tonnerre. Malheureusement, c’est du diurne, donc aucune chance d’attraper correctement un éclair, d’autant que la plupart sont intranuageux.

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Premières cellules orageuses (1). En ligne grise, l’angle de champs de la photo ci-dessous.

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Ce paquet orageux s’évacuera assez rapidement en direction de Périgueux. Mais il continuera d’offrir un joli petit spectacle convectif ! La situation :

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Une belle pile d’assiettes coiffe le sommet d’une tourelle convective, on appelle ça un pileus.

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Le crépuscule tombe, j’essaie de photographier l’activité électrique qui illumine les cellules, mais le fond de ciel étant trop clair, et les flashs étant trop peu contrastés et lumineux, je n’obtiens rien. Ce n’est qu’avec la progression de l’obscurité que je parviens à quelques résultats, mais sur une seconde cellule (2) qui s’est vite développée sur le Limousin.

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La situation semble se calmer, mais au Sud, sur le Lot-et-Garonne, se présente un troisième paquet orageux (3).

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Mais au Sud, quelque chose se présente…

(suite…)

Flickr, ancien prénom et autres

Aucun commentaire • Expédié le 27 février 2016 à 22:26 dans MétéoPaysageUrbanité

Depuis mon article de vœux 2016, j’ai pas écrit grand chose. J’ai même rien publié du tout.

Donc non, mon blog n’est pas mort. Ni à l’abandon. C’est juste que bon, la saison hivernale en Dordogne c’est assez ennuyeux. Y a bien eu quelques orages début Janvier (assez étonnant pour un mois de Janvier d’ailleurs), et un temps limite tempétueux. Le fleuve Dordogne était à un moment le centre de mon attention, car celle-ci, par deux, s’est bien gonflée,  pour atteindre des niveaux assez impressionnants. Avant de passer aux quelques photos, deux annonces, faites chacune avec un visuel.


 

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Je suis donc chez Flickr, et j’y dépose régulièrement des photos. Je commence à en avoir un certaine quantité, et ça me pousse à mettre le lien vers ma galerie depuis mon blog. Je continuerai les articles photos ici, mais Flickr sera désormais l’endroit où on retrouvera le plus de mes photos dites « ponctuelles ».

C’est donc ici : https://www.flickr.com/photos/66754587@N06/


 

NeMoreDeadnam

Mais qu’est-ce qu’elle peut nous vouloir avec son visuel bof et son prénom ?

La question est recevable. Seulement, en arrière-plan, j’ai effectué un travail qui fut plutôt monumental : effacer mon ancien prénom de mon blog. En effet, jusqu’à encore avant-hier, mon ancien prénom demeurait dans un quantité invraisemblable de signatures de photos, recouvrant toute l’année 2011 et une partie de l’année 2012. Le logiciel que j’ai utilisé on en parlera après, car il va nécessiter un paragraphe à lui seul. Mais j’a pu, enfin, modifier TOUTES mes photos et changer le prénom pour l’actuel, tout en conservant le style des signatures utilisées à l’époque. J’ai également travaillé à évacuer mon ancien prénom de tout un tas de productions spéciales (mosaïques MODIS, cartes postales de Mars, etc.). Enfin, j’ai relu l’intégralité de mes articles, pour corriger le genre auquel je m’adressais. De nombreux commentaires furent également modifiés pour remplacer mon ancien prénom par l’actuel. Donc je suis enfin chez moi, chez Damia Bouic 🙂

Le visuel ci-dessus contient toutes les polices d’écritures employées dans mes signatures, et sur mon blog. La Lucida Grande (années 2008 à 2011), la Trajan Pro (D), la Copperplate (a), la Play (m -utilisée pour mes images de Mars), la Rosarivo (i, et les années 2012, 2013 et 2014), et la Raleway Ultra-Thin (a et 2015, 2016, actuellement utilisée).


 

Darktable

Darktable, un soft qui vous veut du bien

Je dois vous faire un paragraphe un peu spécial pour un logiciel que j’ai testé, et vite adopté. Il s’agit de l’extraordinaire -et trop peu connu- Darktable. J’étais quelque peu réticente à l’idée de m’en servir car je n’ai pas trouve l’interface très intuitive, et je l’ai trouvé assez déroutante par rapport à mes habitudes sous Gimp. Alors qu’on soit clair-e-s : ce logiciel est avant tout un logiciel orienté traitement de photographie. Ce n’est pas un logiciel d’édition graphique. Pour ça vous avez Gimp, ou encore Inkscape. Non, la puissance de Darktable réside dans sa quantité considérable de modules d’éditions de l’image, de filtres et d’actions sur bon nombre de paramètres. Ce logiciel est non-destructif car toutes les modifications peuvent être annulées d’une simple désactivation du module. Il peut travailler en 8 bits, mais également en 16 bits (et même en 32 bits si je dis pas de bêtises), et il dévoile tout son potentiel avec des images RAW.
Chose très importante aussi, ce logiciel repose sur un logique de modules, qu’on peut sauvegarder en tant que réglages, et qu’on peut retrouver plus tard. On peut les dupliquer. Les empiler. Les appliquer avec des modes de fusion. Bref on peut en faire à peu près tout ce qu’on veut, c’est sans limite.
Il y a aussi la possibilité de travailler par lots, et ça c’est aussi très important, notamment quand on a une quantité importante de clichés, auxquels on veut appliquer toute une suite de réglages comme par exemple la saturation des couleurs, la balance des blancs, la netteté, le réglage des tons clairs/tons sombres… ou bien appliquer un filigrane aux images. Ce qui fut LA solution qui fut salvatrice pour moi, afin d’éditer massivement les images passées de mon blog et enfin changer les signatures !

Bref, Darktable est logiciel vraiment bien, et qu’on trouve ici : http://www.darktable.org

Il est libre, open-source et multiplateforme (sauf la version compilée pour windows qu’on doit compiler soi-même). Si Gimp est l’équivalent libre de Photoshop, Darktable est assurément l’équivalent libre de LightRoom !


 

Pour finir, quelques images de cet hiver. Parce que bon, Bergerac c’est peut-être pas Byzance mais c’est sympa quand même !

Bergerac c’est avant tout, et surtout, la Dordogne. Omni-présente. Et ses berges offrent des endroits accueillants.

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Cet hiver on aura quelques trucs. Comme de la neige par exemple, avec une Dordogne fumante.

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De l’orage donc, je disais. Avec ici un bel arcus. Au tout début du mois de Janvier, ouaip !

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De jolis crépuscules. Bon, ce n’est que le 3ème que je partage dans cet article hein ^^

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Une ambiance, dans le brouillard, près de la Dordogne. Tout près.

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En centre-ville également, avec les grandes guirlandes lumineuses qui dégringolent de Notre-Dame :

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Et enfin, les variations du niveau du fleuve Dordogne qui m’ont amenée à faire un certain nombre de clichés.

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Une averse vient de se dissiper, les nuages se déchiquettent.

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Les Quais Salvette, indicateur très précieux pour suivre au centimètre près les évolutions de la Dordogne. Regardez bien le panneau « Embarcadère Gabares »

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Ici, le terrain de camping de la Madeleine, totalement recouvert. Zone régulièrement inondée, comme peuvent en témoigner les prises électriques surélevées.

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La Dordogne a son plus haut niveau en Février, avec une côte à 3,80 ! Le panneau « Embarcadère » est inondé jusqu’au cou !

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Bergerac éclairée par le Soleil de fin de journée. En premier plan, la Dordogne, en colère, qui charrie des débris récoltés sur les berges, en amont.

 

Voilà pour cet article, un peu long je vous l’accorde, mais au final, j’avais quand même des choses à dire et à montrer !

Juillet 2015 à Dijon – Bilan climatologique

Aucun commentaire • Expédié le 1 août 2015 à 19:22 dans MétéoPaysage

Sacré mois de Juillet à Dijon. J’ai envie de dire, sur tout le territoire étant donné la canicule de grande envergure qui s’est produit ce mois-ci.

Mais penchons-nous sur le cas de la ville de Dijon parce que… Parce que j’y vis surtout, depuis bientôt 3 ans, voilà pourquoi.

Jetons un œil à ce graphique d’abord, résumé des données météo renvoyées par la station de Dijon-Longvic, et accessibles ici, grâce à Infoclimat.

graphique_infoclimat.fr-2

 

Les colonnes en rouge montrent les précipitations. A droite, l’échelle. Le jour où il a plu le plus c’était le 28 Juillet, avec tout juste 2 mm ! Ce qui est faible, très faible. Les autres jours ne parviennent même pas à franchir ces 2 mm symboliques. Bilan pluviométrique de ce mois de Juillet 2015 : 6.2 mm. L’an dernier, il était tombé environ 100 mm pour le même mois. Mais le plus marquant n’est pas là. Le plus marquant est que ce mois de Juillet 2015 restera dans les annales car étant le mois le plus sec depuis 25 ans ! Mois très sec qui succède à d’autres mois déficitaires : Juin avec 37,7 mm (-40%) et Mai avec 45,8 mm (-47%). Comparons avec une ville plus habituée à un pluviomètre moins rempli : Marseille. A Marseille, jusqu’au 31 Juillet 2015, il est tombé en tout et pour tout 294,4 mm. A Dijon, sur la même période : 276,8 mm.
Une sécheresse inhabituelle pour la région.

Et cela n’est pas sans conséquences… Plusieurs incendies se sont produits autour de la ville, notamment sur le plateau de Chenôve; les 20 et 21 Juillet.

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Et le lendemain, reprise.

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Quelques précipitations et un rafraîchissement ont pu éloigner la menace de nouveaux départs de feux, mais cela montre bien l’atypicité de la situation climatologique en Bourgogne pour ce mois de Juillet.

Revenons à notre graphique plus haut. Cette fois-ci les températures. Celles-ci sont restées très élevées en raison d’une forte canicule. Record mensuel de 37,7°C le Mardi 7 Juillet. Le record historique est de 38,1°C, en Juillet 1983. C’est le 3ème mois de Juillet le plus chaud depuis que la station existe. En toute fin de mois, les températures sont retombées, jusqu’à atteindre 6,9°C le 30 Juillet ! Notez que la température minimale absolue est de 5,2°C le 1er Juillet 1972. Un mois de Juillet 2015 donc avec de grandes amplitudes thermiques.

Je termine par l’ensoleillement. Cf. diagramme ci-dessous. De très larges périodes d’ensoleillement à cette station. 316 h et 53 min au total de Soleil ce mois-ci ! A Marseille (décidément !) pour ce même mois de Juillet, il y a eut 282 h et 50 min. Ce qui est inhabituel. graphique_infoclimat.fr-3

 

Donc pour résumer : un mois de Juillet 2015 à Dijon très chaud et surtout extrêmement sec, le plus sec de ces 25 dernières années, et qui aura vu des feux de forêt, phénomène que l’on voit plus couramment se produire en Provence. Un peu de fraicheur et d’humidité les quelques derniers jours mais ce n’est pas cela que nous retiendrons.

J’essaierai de produire un bilan climatologique mensuel chaque 1er du mois environ.

Dites bonjour au 70D !

Aucun commentaire • Expédié le 26 juin 2015 à 17:43 dans AstronomieCapharnaümMétéoUrbanité

Mon Canon EOS 400D m’a suivi durant 5 années de ma vie. 5 années à me suivre, sous la pluie, la neige, la grêle, l’orage, le vent, les embruns salés, la canicule, le brouillard, le givre, le ciel nocturne. Mais aussi sur les toitures, dans les souterrains, dans des espaces abandonnés. Mais également au bord de mer, à la montagne, dans les villes, les villages, les campagnes, les forêts, les champs. 5 ans de compagnie. Depuis Janvier 2010. Il a pu être le témoin de mes dernières années en école des Beaux-Arts. Le témoin indispensable de ma transition. J’ai pu le pourvoir d’un objectif ultra-grand angle Sigma 10-20 mm.

Ces 5 ans avec mon 400D c’est :

Mais hier, à ma grande surprise, sans signes avant-coureurs, je retrouvais l’appartement avec deux cadeaux de mon chéri :

Un 70D… Mon chéri est incroyable. Juste. Incroyable. Cadeau, comme ça !

Autant vous dire que cet appareil photo c’est juste de la bombe. Je passerai sur les nouveautés par rapport au 400D. Le mode vidéo full HD, l’écran escamotable et tactile multitouche, des ISO en veux-tu en voilà, le mode HDR, le Dual Focus, et tout un tas d’autre choses. Je passe d’un capteur 10 mpx à un capteur 20 mpx. Bref : un boitier qu’il est sérieux qu’il en a dans le ventre !

Maîtriser la bête ne fut pas totalement aisé et je suis encore en train de prendre mes marques à l’heure actuelle. J’attends de pouvoir faire de vraies sorties pour exploiter son plein potentiel. Et j’ai le temps 🙂 Mais toutefois, ma petite revue en quelques clichés obtenus avec ce nouveau bestiau.

Le tout premier cliché. Toujours important. Pour le 400D c'était la vue vers l'Est avec le Mont Puget. Ici, guère de Mont Puget, mais vue vers l'Est depuis le Vélux tout de même !

Le tout premier cliché. Toujours important. Pour le 400D c’était la vue vers l’Est avec le Mont Puget. Ici, guère de Mont Puget, mais vue vers l’Est depuis le Vélux tout de même !

Vue extérieure. J'utilise le zoom fourni qui est le 18-135, 3,5/5,6 fourni de base, et qui donne de très bon résultats au grossissement maximum.

Vue extérieure. J’utilise le zoom fourni qui est le 18-135, 3,5/5,6 fourni de base, et qui donne de très bon résultats au grossissement maximum.

Le mode HDR m'a vite intriguée et j'ai fait un test. C'est assez convaincant : les ombres sont débouchées et le ciel n'est pas cramé. Faire attention durant l'acquisition car l'apn déclenche trois vues qu'il empile ensuite. Donc ne pas bouger durant la rafale.

Le mode HDR m’a vite intriguée et j’ai fait un test. C’est assez convaincant : les ombres sont débouchées et le ciel n’est pas cramé. Faire attention durant l’acquisition car l’apn déclenche trois vues qu’il empile ensuite. Donc ne pas bouger durant la rafale.

Zoom sur la Lune avec le 18-200 mm. Cette image est un recadrage à 100%, dont les détails ont été réhaussés sous Gimp (ondelettes). Photo prise à MAIN LEVÉE !

Zoom sur la Lune avec le 18-200 mm. Cette image est un recadrage à 100%, dont les détails ont été réhaussés sous Gimp (ondelettes). Photo prise à MAIN LEVÉE !

En basse lumière il se défends bien mieux que mon 400D, et le traitement du bruit est bien meilleur. Ici une vue sur une bougie chauffe-plat, autant dire pas beaucoup de lumière dispo. Et pourtant. 12800 ISO pour ce cliché.

En basse lumière il se défends bien mieux que mon 400D, et le traitement du bruit est bien meilleur. Ici une vue sur une bougie chauffe-plat, autant dire pas beaucoup de lumière dispo. Et pourtant. 12800 ISO pour ce cliché.

Nouveau test du mode HDR. La rue de la République à Dijon ;)

Nouveau test du mode HDR. La rue de la République à Dijon 😉

Test des capacités de macro du 18-135. Ceci est un recadrage à 100%. La photo est nette et sans bavure sur ce cliché fait à 800 ISO, sur le capuchon de protection de l'objectif.

Test des capacités de macro du 18-135. Ceci est un recadrage à 100%. La photo est nette et sans bavure sur ce cliché fait à 800 ISO, sur le capuchon de protection de l’objectif.

J’ai réellement hâte de le tester sur trépied sous un ciel nocturne, pour voir si je peux obtenir la Voie Lactée avec le mode ISO élevé. Hâte également de filmer des orages de jour afin de saisir des impacts de foudre diurnes. Hâte de faire tout un tas de choses en fait…
Voilà, désormais, mes photos seront faites avec ce beau boitier, offert amoureusement par ma moitié 🙂