Et son centre commercial, le 26 Octobre.
J’ai simplement posé mon apn avec son mini-trépied sur le tapis roulant incliné, qui permet d’accéder au parking situé sur le toit du supermarché. Up and down.
Et puis depuis le toit, panoramique sur le ciel crépusculaire rayé par les Anneaux éclairés par en dessous en cette période après l’equinoxe d’automne, et la station service en bas.
Voilà, je n’ai pas pu résister, il me la fallait, et je l’ai eut.
La nouvelle souris d’Apple qui promet l’apport du multitouch sur un pointeur physique (un peu comme l’iPhone ou le trackpad des derniers Macbook et Macbook Pro).
Donc l’emballage ouvert. On remarque direct le contraste un peu vif entre le carton brut et le boîtier de la souris, un peu comme un écrin. A droite, le boîtier en plastique qui montre un très beau niveau de finition.
Une fois le boîtier ouvert, on découvre un double fond avec un tout petit manuel traduit en plusieurs langue dont le français bien évidemment.
Et la Magic Mouse. Sur les images du site d’Apple, on voyait pas que le dessus était en fait transparent avec le dessous couleur blanche. Le dessous n’est ni plus ni moins que de l’aluminium. Partie brillante + Alu, la formule désormais obligatoire chez la firme à la Pomme. Un très bel objet sans conteste !
Voyons voir en dessous. Avec à gauche la base avec deux patins -en Teflons- sans doute. Vers l’avant de la souris, le trou pour le capteur laser, et l’interrupteur on/off. Vers l’arrière, le clip servant à ouvrir le compartiment des piles.
Et la Magic Mouse ouverte, avec les 2 piles offertes. Simple et clair. J’ai un jeu de piles rechargeable lorsque celles-ci arriveront à leur terme (vu la consommation de l’appareil, je peux espérer tenir un certain temps avec).
Cette souris ne fonctionne pour l’instant qu’avec un macintosh tourant avec Mac OS 10.5.8 ou Mac OS 10.6.1. Apple propose une mise à jour pour que cette souris marche pleinement.
Une information à l’usage de ceux qui auraient installé le logiciel USBOverdrive. Veillez à le désinstaller complètement du système (du panneau des Préférences Système, le logiciel dans Application, et un fichier placé dans « [votre disque de démarrage]/Système/Extensions/ » nommé USBOverdrive.ext ou un truc comme ça). Sans quoi vous vous retrouverez dans la même situation que moi, avec un panneau de préférence classique ne proposant pas les options de cette souris.
Elle s’avère être d’une redoutable efficacité dans le défilement dans n’importe quelle fenêtre où y a du contenu à scroller. Pour ce faire, il suffit de faire glisser le doigts sur la surface, peut importe où il peut être. On oublie vite qu’il n’y a qu’un seul bouton tant la détection des doigts selon leur place est redoutable pour identifier un clic droit d’un clic gauche. La vitesse de déplacement du pointeur à l’écran s’ajuste en fonction de la vélocité que l’on applique à la souris. Ainsi, si l’on donne un coup sec, le pointeur peut parcourir tout l’écran, et si l’on va plus doucement, celui se déplace de façon plus précise. Il faut espérer qu’Apple propose une mise-à-jour pouvant étendre les fonctions de cette souris à un vrai multitouch pouvant fonctionner comme celui de l’iPhone (3, 4 ou 5 doigts, pincer pour zoomer, etc.).
Voilà, il faut que je m’habitue un peu à l’usage d’une souris car jusqu’à présent, je n’utilisais que mon trackpad.
Je suis passée sur ce lieu important à Marseille (et le passage obligé de tout bon touriste en mal de beaux monuments qui se respecte…) ce soir pour tenter de prendre une image du Canigou, un mirage atmosphérique qui rend cette montagne des Pyrénées-Orientales visible depuis Notre-Dame-de-la-Garde, fin Octobre et début Novembre. Le ciel en ayant décidé autrement, j’ai attendu qu’il fasse suffisamment « sombre » (il ne fait jamais nuit avec de tels projecteurs…) pour faire une image du fameux fort converti en église.
12 images pour obtenir un faux grand angle, travaillé dans Hugin et Gimp.
Et puis en « bonus », mais photographié un soir précédent, la vue sur un stade célèbre.
J’ai pris le temps de scanner les photos qu’il me restait afin de pouvoir les disposer sur ce blog. Il y a moins de photos cela dit, et la plupart partiellement voilées à cause d’une « fuite » de lumière dans le boîtier au niveau de l’enrouleur, défaut que j’aurais remarqué bien trop tard.
Pose B sur le bus 21 de Luminy, et mammatus à droite depuis Martigues.
Lors d’une nuit d’observation avec un ami sur le site de Riboux, sur la Sainte Baume, à l’Est de Marseille, deux suivis en parallèle pour saisir la Voie Lactée. Clichés traités pour enlever une partie du gradient lié à une pollution lumineuse bien visible au bout des 4-5 min de pose (et avec 200 iso je le rappelle). A gauche la région du Cygne, à droite la région de l’Ophiucius au dessus du Sagitaire, dont on voit quelques étoiles tout en bas.
L’éclipse partielle de Mars 2006. Image en afocal à gauche et setup à droite (mon 130/900 sur sa première monture, une EQ-2).
Séjour lors de ma Première Année à Barcelone, une ville que j’ai vraiment bien apprécié. Intérieur du Musée d’Art Contemporain à gauche, un vitrail d’une église de l’architecte Antonio Gaudi, et le Musée d’Art Moderne à droite.
Ci dessous, la Pedrera, maison de Gaudi également.
Et pour terminer, deux panoramiques impossibles à relier sans avoir recours aux technologiques numériques.
Luminy avec le Mont Puget à droite (encore lui????).
Et Barcelone de nouveau, pris depuis le parvis du Musée d’Art Moderne.
Un certain nombre d’années avant que je me mette à faire de la photo avec mon appareil photo numérique -Kodak Easyshare ZD710- j’utilisais, de façon plus ou moins intensive, un solide reflex argentique que voici :
Un Prakitca MTL-3, fabriqué en Allemagne de l’Est, entièrement manuel, la seule pile électrique servant à alimenter le « spot » de mesure de l’exposition (les eV comme on dira plus tard). Muni d’un objectif Pancolar 50 mm, de qualité somme toute correcte. Je me souviens avoir du le réparer car le diaphragme était défectueux (il ne voulait plus s’ouvrir ni se fermer). J’ai oublié de préciser que j’ai eut cet appareil pour pas un rond car je l’ai déniché dans un carton, dans une décheterie, avec mon père. Déposé sans doute là pour que d’autres puissent en profiter.
C’était en 2004. Dès que j’estimais l’appareil prêt, j’ai acheté deux premières pellicules, du film Fuji 200 iso. Type de film que j’ai pris l’habitude de reprendre par la suite, même si ça me provoquait des photos assez granuleuses.
Lorsque j’envoyais mes films à développer au labo, je demandais à avoir une contrepartie sur CD-Rom, de façon à pouvoir exploiter mes photos.
Je vous propose ici une sélection de quelques photos.
Première pellicule, avec une vue depuis la fenêtre de ma chambre, chez mes parents.
Un « halo » solaire, à peine visible ; et encore jusqu’à ce jour ce que je considère comme mon meilleur cliché de foudre (une de mes principales motivation dans cet appareil étant la photographie des phénomènes naturels).
Je jette un oeil depuis la fenêtre du train corail reliant Bordeaux à Marseille (lieu de ma future installation). A droite, un coucher de Soleil depuis les hauteurs SE de Martigues.
Chez mon grand-père
Fin de la 2nde pellicule.
3ème film, le panneau de mon lycée, fin du mois de Juin, le bac en poche (remarquez un triangle jaune collé dessus ; il y est encore actuellement).
Rien d’autre d’intéressant sur cette pellicule, passons à la 4ème, avec une seule photo réussie d’éclair d’une campagne de chasse à l’orage « immobile » durant l’été 2005. Je précise que je suis encore chez mes parents, en Dordogne près de Bergerac. Mais en Septembre, je fais mes bagages pour Marseille où je commencerais ma 1ère années à l’Ecole des Beaux-Arts de la ville.
5ème film. Les deux premières photos étant prises sous le ciel périgourdin, avec à gauche une tentative de champ profond en parallèle de 130/900, 4 minutes de pose. Et à droite une photo d’éclair d’un bel orage d’Août.
Ici, une photo à Marseille, dans mon école des Beaux-Arts, le jour de l’éclipse partielle de Soleil du 3 Octobre 2005, montrant une myriade de croissants solaires au maximum du phénomène. On entame la 6ème pellicule à droite avec une vue sous filtre solaire du maximum de l’éclipse. C’est petit, très petit.
Toujours lors de l’éclipse, j’ai photographié le Mont Puget, relief marseillais avec lequel je vais avoir une longue histoire. Et à droite, la mer Méditerranée vue depuis le Belvédère du parc du Sugiton, lors de mon tout premier passage dans cet endroit.
Il me reste d’autres photos, mais celle-ci ne sont pas sur support CD. Je n’ai que les photos papier, et les négatifs. Je pense prochainement m’en charger.
En espérant que cela vous aie plus.
Une reprise de ce panorama, un bon nombre de jours avant que le rover Opportunity n’atteigne le cratère Victoria.
Je l’ai repris en utilisant les vraies raws disponibles sur le site du Planetary Data System. Les couleurs sont de meilleure qualité (et surtout proche des vraies), le panorama plus uniforme. Je tiens à préciser toutefois que les teintes du ciel sont les vraies teintes, mais que je l’ai extrapolé pour qu’il occupe une place plus importante dans l’image.